CFC, une place financière dynamique au service de l’Afrique
- Une communauté de membres active comprenant 144 entreprises de premier plan
- 74 % des investissements du Maroc sur le continent ont été réalisés par les membres CFC
- Les entreprises CFC couvrent 46 pays du Continent
Créée en juillet 2010, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, CFC est aujourd’hui un hub majeur et le premier centre financier du continent, profitant des avantages stratégiques et économiques du Maroc ainsi que de l’ancrage du Royaume en Afrique.
Un hub économique et financier africain
Avec 144 entreprises membres à ce jour, CFC a constitué une forte communauté composée de sociétés financières, de sièges régionaux de multinationales, de prestataires de services et de holdings. Ces entreprises de premier plan comprennent des leaders, dont Lloyd’s, Bank of China, The Boston Consulting Group, Africa50, Clifford Chance ou Accor. Ouverte sur le monde, CFC compte des entreprises dont 70 % sont d’origine internationale : 62 % viennent d’Europe, 17 % d’Amérique, 7 % du Moyen-Orient, 6 % d’Afrique et 5 % d’Asie.
CFC confirme son rôle de catalyseur du business en Afrique : les entreprises CFC ont réalisé 74 % des investissements du Maroc sur le continent. Cette tendance s’accentue année après année, puisque le montant des investissements des membres CFC en Afrique a connu une hausse de 80 % selon les dernières statistiques de l’Office des Changes. Au total, ces entreprises opèrent aujourd’hui sur la quasi-totalité du continent avec 46 pays couverts.
Une proposition de valeur attractive
CFC a conçu pour ses membres une proposition de valeur attractive qui favorise le déploiement de leurs activités en Afrique. Cet accompagnement se décline en trois volets : doing business, communauté et expertise.
Une offre « doing business » innovante et évolutive
En lien avec les autorités compétentes, CFC a été catalyseur de réformes pour la facilitation de l’environnement des affaires de ses membres, et a mis en place différents services dans ce sens : les entreprises peuvent finaliser leurs formalités de création en 48 heures. Le guichet unique « doing business » de CFC a été mis en place et permet notamment aux salariés étrangers d’obtenir leur contrat de travail en deux jours et de réaliser les formalités de légalisation des signatures et de certification de la conformité des copies au sein même des locaux de CFC.
À ces avantages s’ajoute la possibilité de recourir à la médiation ou l’arbitrage du CIMAC (Casablanca International Mediation & Arbitration Centre. CFC a en effet impulsé la création de ce centre qui est totalement indépendant et fonctionne en quatre langues : anglais, arabe, espagnol et français.
Le CIMAC réunit certains des arbitres les plus connus sur la scène internationale :
- Laurent Lévy (Suisse), ex Vice-Président de la Cour d’Arbitrage Internationale (ICC), Président de la Cour d’arbitrage du CIMAC
- Ina Popova, (Bulgarie) avocate aux barreaux de New York & Paris
- Michael Black (Angleterre), arbitre international depuis plus de 40 ans. Il est le concepteur de la Cour d’arbitrage et du système judiciaire de DIFC
- Dorothy Udeme Ufot (Nigéria), arbitre reconnue sur le plan continental & international. Elle a plus de 27 ans d’expérience sur l’arbitrage international.
Toujours dans une optique de simplification des affaires, CFC joue un rôle centralisateur auprès de l’Office des Changes : interlocuteur de l’institution, la place financière canalise ainsi toutes les demandes d’autorisation, d’information et de dérogation de ses entreprises membres, assurant le suivi de leurs démarches directement avec les services de l’Office des Changes.
Une communauté et des expertises pour de réelles opportunités d’affaires sur le Continent
CFC développe et partage de manière régulière, avec sa communauté, une expertise à différents niveaux : expertise métier (finance verte, finance participative, fintech, …) ; expertise thématique (intégration africaine, cartographie des risques par pays, …) ; expertise géographique (opportunités d’investissement en Afrique, etc.)
Ces expertises sont associées à des plates-formes de networking, qui se traduisent par l’organisation de rencontres régulières autour de sujets d’actualité, à même de créer des opportunités d’affaires pour chaque membre CFC sur le continent.
Un réseau de partenaires internationaux
Singapour, Londres, Luxembourg, Montréal, Paris, Astana et Busan…Les partenariats de CFC comprennent de nombreux volets, dont un partage d’expertises qui touchent plusieurs domaines porteurs pour les économies marocaine et africaine : fintech, marchés dérivés, développement des marchés de capitaux ou encore finance verte, ce dernier domaine formant une orientation clé de la place financière de Casablanca.
CFC se définit en effet comme un « centre financier vert » et a été un membre fondateur et le premier centre africain à rejoindre le Réseau international des places financières vertes et de la finance durable, dont le lancement a eu lieu à Casablanca fin septembre 2017.
La démarche de CFC, qui promeut l’échange des bonnes pratiques et la promotion mutuelle des opportunités d’affaires, se concrétise également en Afrique. La place financière a déjà signé plusieurs partenariats avec les agences de promotion des investissements de 14 pays du continent, et ce, afin d’accompagner plus efficacement ses membres dans les territoires concernés.
